dimanche 29 novembre 2009

Plus jamais pareil.

Je n'ai plus du tout envie d'écrire.

En fait, je ne comprends pas du tout pourquoi vous me lisez.

Mettons que je mets ça en veilleuse pour un bout de temps.

Je n'en retire plus de plaisir.

J'ai l'impression d'écrire dans le vide, pour rien.

Au revoir, les grands.

jeudi 26 novembre 2009

Humeur de métro

J'avais l'impression que je n'avais rien à vous dire...et c'est pas mal vrai...vous allez voir qu'à la fin du message, vous allez être toujours aussi frustré.

Il y a deux jours, dans le métro, alors que je rentrais chez moi, j'étais assise plus ou moins à côté d'un homme. Laissez-moi vous le décrire un peu, mais c'est difficile à faire. Il devait avoir entre 25 et 30 ans, je dirais, il était checké, bien habillé, avec une barbe de taillée avec la précision d'une montre de poche. Il avait un livre d'économie entre les mains, je crois. Tout le long du trajet, j'avais crû qu'il le lisait en surlignant de son gros marqueur jaune (ou bleu, j'ai un blanc).

C'est en me levant pour sortir que j'ai réalisé qu'il m'avait peut-être regardée pendant toutes ces stations (mon reflet dans la vitre, j'imagine), parce qu'il me suivait des yeux et qu'il a presque sursauté quand je l'ai regardé. Lui, il ne m'a pas que regarder 2-3 secondes. Non. Il me fixait. Il fixait mon regard dans le reflet dans la porte. Je l'ai vu. Il cherchait mes yeux et les fixait. J'ai embarqué dans son petit jeu et j'ai soutenu son regard sans sourciller. Il n'a pas détourné les yeux, loin de là. J'étais contente, je lui ai souri. La porte s'est ouverte, je suis sortie en repensant à ce qui venait de se passer. En montant les marches de l'escalier, j'ai tourné les yeux vers le wagon que je venais tout juste de quitter, juste pour voir. Il était toujours là. J'ai croisé son regard encore une fois, il me regardait toujours. Cette fois-ci, son regard avait changé, il avait l'air de dire un mélange de «je te veux» et de «Ne pars pas». Je lui ai souri à nouveau. Jusqu'à ce que le metro s'éloigne de plus en plus vite vers la prochaine station. Qu'est-ce que je risquais...

lundi 23 novembre 2009

Bo-boum.

Faut que j'essaie de ne pas trop m'exciter.

D'un coup que...

Mais j'y peux rien...c'est...biologique, mathématique...et probablement chimique (se serait cool).

Comme l'a si bien dit chépuki, c'est quand on porte attention aux coincidences qu'elles se multiplient.

mercredi 18 novembre 2009

Impression d'être dans de la boucanne.

Je suis fâchée. Fachée, fâchée, fâchée. Je réussis rien de ce que j'entreprends.

Mais quelle merde je suis.

Vraiment, ça vole pas haut mon affaire pis ma mère me rend folle.

MerDE.

Tsé quand ton taille crayon te fait de l'oeil.
Quand t'es énervée toute la journée parce que tu penses que ça peut marcher, mais que dans le fond peut-être pas.
Que tu réussis à tout caser dans ton horaire pis que quelqu'un arrive pis te dis que t'es d'la shit.

Fuck ma vie. J'ai le goût de tout annulé ce que j'ai prévu pour les 4 prochains jours.

J'y arrive juste pas.

Mes cheveux sentent la cigarette.

Les trucs positifs du jours: j'ai eu deux filles excessivement super avec moi dans le métro après mon cours de math, je n'ai pas de bio demain matin et j'ai eu droit à un très cool sourire ce matin.

C'est déjà ça de gagné!

mardi 17 novembre 2009

Victoire de l'amour sur Mars endormi


J'adore ce Botticelli.

Trop pas vraiment

Ahhhh ce que je peux m'ennuyer d'elle.

Parler de tout et rien, de garçons et de filles, d'école et de tout le reste, de vaccin et de garçon, de mur qui bouge tout seul et qui ondule à cause d'un mal de tête, d'un prof de math qui nous avait donner une belle leçon, la plus belle: «J'ai regretté bien des choses dans la vie, mais jamais d'avoir essayer ou tenter de quoi en amour» ou quelque chose comme ça, elle s'en rapelle mieux que moi anyway, et aussi de mecs. 1heure. Qui était à la base consacrée à des travaux relativement importants.

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Hier, une amie m'a dit: «chaque fois que je te parle, tu parles d'un gars différent.» J'étais un peu blessée. haha C'est trop pas vraiment vrai en plus.

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Je ne sais pas s'ils le savent, mais il y a au moins 9o% de chance que les amies des filles auxquelles vous parlez, mecs, sachent entièrement ce qui a été dit le jour de la discussion maximum une semaine après. Et le tout est bien sûr soigneusement analysé et discuté. En long et en large. C'est fou comme on passe maître dans l'art de la psychanalyse des conversations banales.

Le partage

Aujourd'hui, mon copain souhaite me présenter une de ses amies du boulot. Nous prenons un café tous ensemble et mon copain ramène les tasses dans la cuisine, depuis laquelle il lance : "Ma chérie, tu peux venir voir, s'il te plaît ?" Nous sommes deux à nous être levées. VDM

Ça, c'est vraiment très, très drôle.
Bon, ok, j'aurais peut-être moins ri si j'avais été dans cette situation, mais quand même.

Un mec, à la limite*, ça se «partage». Un chum, non. Y'a quand bien même des limites.

Dans le fond là, Jésus c'était un libertin échangiste. Il prêchait le partage avec les pairs, non? On m'a dit qu'il fallait partager avec les amis quand j'étais au primaire (dans une école catholique qui nous faisait faire la prière 2 fois par jour). C'est ÇA que ça voulait dire dans le fond!




*depuis que le monde est monde...on ne le refera pas
(remarquez cet astérisque qui ne veut RIEN dire, haha)

dimanche 15 novembre 2009

Friday the thirteenth

Qu'est-ce que je voulais dire déjà?

Ah oui...Fuck les vendredis 13. Pas pour moi, mais pour quelqu'un que j'aime énormément.

Vous savez quoi, ça n'arrive pas tous les jours que quelqu'un te dit «ahh...ça m'a fait du bien de te parler là j'ai arrêté de pleurer.» Non, ce n'est pas tous les jours. Heureusement d'ailleurs.

C'est dans des moments comme ceux là qu'on réalise, je crois, qui qui est vraiment là pour nous quand on en a besoin. Cette fois-ci, c'était pas moi qui pleurait et j'étais contente de pouvoir être là à mon tour.

Je sais ce que c'est que de pleurer sans pouvoir s'arrêter. Je sais ce que c'est. C'est terrible. Ça fait toujours du bien d'avoir quelqu'un pour nous écouter dans ces moments là.

Donc ouais, par solidarité, FUCK LES VENDREDIS 13.

vendredi 13 novembre 2009

Vendredi

-un film noir et blanc
-une caméra manuelle
-V. pour m'accompagner
-Le musée des beaux-arts

J'aime les vendredis.

jeudi 12 novembre 2009

L'ammmmour

"C'est quoi ce bordel avec l'amour-là ?
Comment ça s'fait qu'on devienne dingue à ce point ?
T'imagines le temps qu'on passe à s'prendre la tête là-dessus ?
Quand t'es seul, tu te plains : est-ce que je vais trouver quelqu'un ?
Quand t'as quelqu'un : est-ce que c'est la bonne ?
Est-ce que je l'aime vraiment et est-ce qu'elle m'aime autant que moi je l'aime ?
Est-ce qu'on peut aimer plusieurs personnes dans sa vie ?
Pourquoi on se sépare ?
Est-ce qu'on peut réparer les choses quand on sent que ça part en couilles ?
Toutes ces questions à la con qu'on se pose tout l'temps-là. Pourtant, on peut pas dire qu'on n'y connaît rien, on est préparé quand même ! On lit des histoires d'amour, on lit des contes, on lit des romans d'amour, on voit des films d'amour... L'amour, l'amour, l'amour, l'amour-là !"
-Les poupées russes-

C'est peut-être un bordel, mais c'est un bordel qui te donne une bonne raison de te lever le matin.

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Film que je n'ai d'ailleurs pas vu...à moins que...je ne sais plus. L'auberge espagnole, oui. Je ne m'en rappelle plus beaucoup. Il y a plein de films comme ça, que j'ai vu mais dont je n'ai à peu près aucun souvenir. Un long dimanche de fiançailles en est un bon exemple. Je me rappelle de quelques trucs, mais si peu! Peut-être que j'étais pas non plus hyper attentive au film...

dimanche 8 novembre 2009

En revenant du Sénégal...

J'ai fait le plein d'amour.

J'ai fait le plein de souvenirs.


Avec C, on est allé souper chez notre gardienne de quand on avait 2 ans. Elle est sénégalaise et douce comme tout. Sa fille aussi. Elle nous a fait un plat de son pays, avec du riz et des légumes inconnus, nous a servi du jus de mangue et des conseils.

Elle a une garderie à domicile maintenant, avec 6 petits pucerons à s'occuper. Pas mal plus de travail que quand elle n'avait que C et moi... Elle a dit qu'on ne se chicanait jamais quand on était petites et que Mme Harel prenait des nouvelles de nous quand elle nous croisait dans les corridors de notre condo.

Elle nous a dit que C ne pleurait presque jamais et qu'elle dormait peu. C'est toujours vrai. Elle nous a dit que je piquais des crises de larmes, mais que ça passait après et que ça me prenait des heures pour m'endormir, mais qu'un coup endormie, je dormais comme une roche. C'est fou comme on ne change pas tant que ça en vieillissant.

Ça m'a fait du bien. C'est rare les gens qui ont cette opportunité là.

vendredi 6 novembre 2009

Euh...comment on appelle ça déjà?

Ah oui...«Capoter pour rien.»

haha

Ben c'est ça là...j'ai croisé L. avant qu'il arrive, à Berri. Et vu que je lui ai promis un article, je vais le faire.

Donc c'est ça. C'est toujours délicat à Berri parce que tu sais jamais de quel bord la personne que t'attend va arriver. Bref, on s'est vu après quelques bonnes minutes où on était sûrement très près sans se voir (classique).

On sort de la dite station de metro. On marche 2-3 secondes, on parle, ça va déjà mieux, je suis en contrôle de la situation. Onnnn...le resto où on était supposé aller a un line-up...Trop de monde.

Je lui propose donc de marcher. Pas de risque qu'il se passe rien en marchant. Donc on marche, on parle et étrangement, j'ai aucune difficulté à parler, pas de blanc dans la conversation, tout va bien. En fait, non. Je crois que c'est tout à fait normal. Je le connais depuis tellement longtemps qu'il aurait été impensable de ne pas trouver de sujet de conversation. On allait au primaire ensemble...Dans ma tête, il avait encore 6 ans. Enfin bref, on marche.

Je réalise que «pas loin d'ici» c'est ce que je lui ai dit, il y avait une chocolaterie ÉCOEURANTE et qu'on pourrait y aller. Pas de problème, on y va. Après un bon 20 minutes de marche pendant lesquelles on a croisé un gars saoul qui nous a dit qu'il s'appelait Charles et que quand il était petit, les gens l'appelait Sale, des filles qui étaient allées au même secondaire que nous, ainsi qu'un gars qui dit «Merci, merci, merci, merci, merci...»à tous les passants, on arrive: fermé pour rénovations du 2 au 8 novembre. Moi, je trouve ça drôle. Lui commence à capoter parce que sa soirée marche pas vraiment comme il l'avait prévu. Je trouve ça encore plus drôle...ça arrive des fois. On revient sur nos pas, on repasse devant le gars qui dit merci et là en continuant à marcher et parler, je me suis dit que j'allais le faire freaker un peu en lui disant que la psychiatrie ça m'intéressait. Que je crois que ça pourrait m'intéresser d'être psychiatre. Pour détruire tous mes efforts, il n'a pas l'air de trouver ça si weird que ça.

C'est là qu'on (re)croise L.! On s'arrête, on parle.

On se remet à marcher. Toujours plein de monde au resto. Et là je prends la décision d'aller à mon resto fétiche: La brioche lyonnaise. J'y suis allée tellement souvent! Avec Carl, Camille, Pat, ...C'est toujours sympathique et ça fait que je suis plus en contrôle de ce qui se passe et qu'il n'y a pas de malaise, j'aime ça. On fini par s'asseoir, je commande mon chocolat chaud (avec crème fouettée, on s'entend. Et dans un bol, s'il vous plaît) Lui, une crêpe flambée au grand marnier. Aucune surprise. On est resté là assez longtemps quand même.

En sortant, on décide de rentrer chez nous, mais un camion de pompier et une ambulance attire mon attention: Je veux voir ce qui se passe. En bout de ligne, pas grand chose d'intéressant, même pas de sang. On rentre dans le métro. Qui qu'on croise pas? Ben oui! Mathilde qui s'en allait prendre le bus pour aller à...Rouyn-Noranda! Wow. Rejoindre Jas qui a sa fête bientôt ça a l'air.

Arrivée à mon métro, Il insiste pour me raccompagner (tsé, faudrait quand même pas que je me fasse violer). Finalement, je viens de manquer mon bus, je vais être obligée de marcher. Il veut marcher avec moi. Je lui ai même dit qu'il n'avait pas à s'inquiéter et que si je me faisais violer j'allais l'appeler, mais il n'a pas trouvé ça suffisant comme excuse. Donc on a marché jusqu'à chez C. et ensuite jusqu'à chez moi. Qui n'a-t-on pas croisé? Vincent et sa blonde! Ben oui! On a jasé en marchant (on habite vraiment près l'un de l'autre). Ça faisait longtemps que je l'avais vu, j'étais contente. C'était assez drôle de nous voir là les 3...on a été les 3 au même primaire et au même secondaire. Vers 23h40, un 6 novembre, dans ma petite rue. Les gens se retrouvent toujours. Le monde est petit.

Et il est parti. Sans flafla.

Je vais enfin pouvoir dormir tranquille.

Bref, ça a été agréable.

Là j'ai très froid et je suis très fatiguée, donc bonne nuit à tous chers vous.

Le chocolat et moi, c'est pour la vie.

Question: Est-ce que ma passion pour le chocolat va me nuire dans cette histoire.

Réponse suggérée: Oui. Elle a déjà commencé d'ailleurs.

Seconde question: Est-ce que je vais résister à l'appel du chocolat?

Réponse suggérée: Je l'espère.

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Il m'a appellé, j'y vais tantôt là. C'est triste comme histoire. Mettons que je vais tenter d'arranger ça au mieux.

La clé reste d'en parler.

jeudi 5 novembre 2009

Prof de bio

Aujourd'hui, ma prof de bio a ouvert le projecteur pour projeter un power point. Avant d'en arriver au dit ppt, elle devait entrer son nom d'utilisateur et son mot de passe pour accéder à sa session. Vous savez comment elle s'appelle? Marilou. Marilou Provost.

Le nom d'utilisateur : les 2 premières lettres du prénom suivies du nom de famille.

J'étais frustrée.

mardi 3 novembre 2009

À ma place...

Ah...les amis, je me suis mise dans un sale pétrin.

J'ai un peu couru après je dois l'avouer...mais quand même.

Fuck fuck fuck.

Je ne sais pas quoi faire.



Ça me stresse au plus haut point. Fuck.

lundi 2 novembre 2009

Dernière minute

Aujourd'hui, je demande à ma mère pourquoi elle pense que je n'arrive pas à me concentrer et à travailler. Sa réponse: «Il n'est pas assez tard.»

Elle a tout à fait raison. Vers 23h, je devrais commencer à être un peu plus productive...

Les colles

L'histoire du lard.

Les mats des différents ciels.

La bi au logis

Le franc sept

La fille à Sophie

Le coup leurre

Le dé saint

Encore Tremblay

Vous avez certainement noté une pointe de déception dans le titre de l'article.


Mouais.


Ce n'est pas exactement ce que j'appelle un «vent de changement».


Par contre j'ai trouvé ça ultra drôle Laurent Fortin élu à Blue Sea.


C'est comme le jambon L. Fortin. Chaque fois, ça n'y manque pas.


Et chaque fois que je vois cette photo, j'ai un frisson:

Que d'émotions en si peu de mots!

dimanche 1 novembre 2009

Insinuation

Carl a fait une insinuation ÉNORMISSIME en fin de semaine.

Je l'ai pas contredis fort fort, mais c'est parce qu'il avait un fouet...un vrai là. Manquait plus que les menottes à froufrou, n'est-ce pas?

Un année l'un, l'autre année l'autre.

En attendant, si vous voulez savoir c'était quoi son insinuation, vous allez devoir convaincre Carl de sortir le Gossip guy en lui.

Il a déjà un blog juste pour ça.








Un petit avant-goût juste pour vous : Du rouge à lèvre bien rouge.

Quatre

Je viens de réaliser que j'ai 4 cartes d'hôpitaux différents. C'est très drôle.

Me semble que ça me donne l'air malade ça, non?


Notre-Dame

Hôtel-Dieu

Maisonneuve-Rosemont

et même Ste-Justine!


C'est pas un peu excessif? J'ai pas mal utilisé les services de santé dans ma jeunesse ça a l'air! haha