mardi 5 janvier 2010

Bonne à marier.

Selon mon grand-père.

En tout cas, laissez-moi vous dire que si j'étais mariée présentement, le mari prendrait 30 livres avant la fin du mois, avec le nombre de desserts que je cuisinerais.

Parce que maintenant, quand je fais des gateaux, ils lèvent et cuisent parfaitement.

Et que j'ai une envie irrésistible de faire mille millions de desserts.

Mon prochain défi, c'est les brownies maison. Avec du vrai chocolat, là. En espérant que ceux là acceptent de cuire, puisque la dernière fois que j'en ai fait, ils n'avaient pas cuit et n'étaient pas du tout comme les croquettes pour chat (tendres à l'intérieur et croquants à l'extérieur). J'étais de la «bad-luck» vivante quand j'étais dans une cuisine. Pauvre de moi. Je me sentais tellement inutile et inapte. Mon dieu.

Plus maintenant. Je mets de la farine partout (que je m'amuse à faire revoler en tappant dans mes mains comme une enfant), je finis les mains pleines de chocolat avec du sucre sur et sous les pieds et je m'amuse comme une petite fille. Quand ça rate, je recommence et ça finit par être excellent. C'est très thérapeutique. Le chocolat, c'est bon pour le moral. Et la cuisine, pour le tour de taille. Car comme elle le dit dans Julie et Julia, «On ne met JAMAIS trop de beurre.»

Manque plus que le mari!

3 commentaires:

C. a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
C. a dit…

Tu sais, tu n'as pas besoin de mari pour déguster tous tes bons desserts, des amis ça fait parfaitement bien le travail aussi :P

Frédérique a dit…

Ah tu crois? hehe

C'est pas mal moins de trouble et beaucoup plus safe en effet :P