mardi 19 janvier 2010

Il le fallait.

FIOUUUU.

Il ne m'en veut pas. En tout cas il n'en a pas trop l'air.

Je vous parle bien sûr de lui.

J'ai décidé qu'il avait eu assez longtemps pour s'en remettre et il a été bien correct quand je lui ai parlé.

Merveilleux, merveilleux.

Bon, une bonne affaire de faite en 2010.



Il a quand même réussi à plugger un «on s'arrangera de quoi» dans la conversation, chose à laquelle je n'ai pas répondu. Mais au moins là, il sait à quoi s'en tenir.

1 commentaire:

C. a dit…

Ne t'inquiète pas, il n'est pas le genre de gars à t'en vouloir pour ce genre de choses...