dimanche 31 mai 2009
Vitamines?
J'ai fait une espèce de crise de je-ne-sais-quoi tantôt, pendant que je faisais le schéma de mon pont en bâtons de pop sicle. Une espèce de crise d'angoisse, j'imagine...ça m'arrive des fois.
Quand j'avais 5-6 ans, ça me faisait un peu la même sensation quand je me balançais à plat ventre sur la balançoire au parc...étrange, hein?
Je n'arrivais pas à faire disparaître l'horrible mal qui me tourmentait. Tout tournait très vite, comme si je devais absolument faire quelque chose, mais que je ne savais pas quoi. Comme si j'avais oublié quelque chose de primordial. Mais non. Mes pensées étaient, par contre, très claires.
J'ai appelé C et c'est passé.
Dans le fond, peut-être que c'est juste que je manque d'un quelconque nutriment...allez savoir lequel maintenant...
Quand j'avais 5-6 ans, ça me faisait un peu la même sensation quand je me balançais à plat ventre sur la balançoire au parc...étrange, hein?
Je n'arrivais pas à faire disparaître l'horrible mal qui me tourmentait. Tout tournait très vite, comme si je devais absolument faire quelque chose, mais que je ne savais pas quoi. Comme si j'avais oublié quelque chose de primordial. Mais non. Mes pensées étaient, par contre, très claires.
J'ai appelé C et c'est passé.
Dans le fond, peut-être que c'est juste que je manque d'un quelconque nutriment...allez savoir lequel maintenant...
Une quatorzaine?
Là, ça commence à bien faire.
Je ne comprends pas. C'est mes hormones qui se foutent de moi ou je dois m'inquiéter?
10 jours, à la limite, c'est déjà arrivé! Mais 14, on pousse un peu, non?
Je suis fâchée contre la vie là. Elle n'a pas le droit, bon.
Ah que c'est mal faite la vie!
Et j'y peux quoi, moi? Rien, évidemment.
Je ne comprends pas. C'est mes hormones qui se foutent de moi ou je dois m'inquiéter?
10 jours, à la limite, c'est déjà arrivé! Mais 14, on pousse un peu, non?
Je suis fâchée contre la vie là. Elle n'a pas le droit, bon.
Ah que c'est mal faite la vie!
Et j'y peux quoi, moi? Rien, évidemment.
samedi 30 mai 2009
De la viande fraîche! Comme disent les Corses...
Bah vous voyez, il y en a au moins un qui pense à moi! Des messages comme ça, ça réconforte!
Salut,
j'espère que le passage à la boucherie n'a pas été trop pénible et qu'il n'y a pas matière à en faire un saucisson...
Je te souhaite avant tout un très prompt rétablissement, j'ai bien hâte de t'offrir ta première victuaille à mâcher, tu me feras savoir quand tu seras prête; parce que des soupes, ça devient un peu monotone. Je te souhaite aussi du repos et je compte bien te voir lundi en pleine forme.
Bon courage,
Adrien
Sacré Adrien...il ne changera jamais. C'est moi ou il me compare à de la viande? Enfin bref, c'est gentil.
Salut,
j'espère que le passage à la boucherie n'a pas été trop pénible et qu'il n'y a pas matière à en faire un saucisson...
Je te souhaite avant tout un très prompt rétablissement, j'ai bien hâte de t'offrir ta première victuaille à mâcher, tu me feras savoir quand tu seras prête; parce que des soupes, ça devient un peu monotone. Je te souhaite aussi du repos et je compte bien te voir lundi en pleine forme.
Bon courage,
Adrien
Sacré Adrien...il ne changera jamais. C'est moi ou il me compare à de la viande? Enfin bref, c'est gentil.
Ballon de plage
Je sais maintenant de quoi j'aurais l'air si je prenais 75 lbs...pis c'est pas terrible. Mieux vaut rester mince...
Des énormes joues m'ont poussé pendant la nuit. Mes parents ont ri de moi. Hier, j'étais presque correcte! Maudite planète de cul. haha
La codéine, qui est supposé se transformer en morphine, et les motrins arrivent à masquer la douleur, heureusement. La plupart du temps...
Ce midi, j'ai mangé des côtes levées, même si je suis supposée manger du mou...c'est pas bien. Je ne devrais pas faire ça...
Je me rétablis tranquillement...
Pour l'instant, j'arrive à manger des bouchées de la grosseur d'une framboise, ma bouche n'ouvre pas plus grand...pratique, oui je sais. Et je ne peux pas fermer mes dents ensemble...sinon je me mords les joues (abondamment enflées). Le médecin m'avait dit que certaines personnes enflaient comme des ballons de plage...je n'ai pas de mal à y croire...
__________________________________
Finalement, j'ai décidé que j'irais à l'après-bal...peu importe si j'ai des amies moumounes, j'ai le droit d'avoir du fun si je veux.
__________________________________
Ma tante s'en vient de France la semaine prochaine! C'est soudain, mais c'est vraiment bien! En plus, elle va pouvoir venir à la messe des finissants! J'ai tellement hâte que tout ça soit fini...au diable l'école et vive les vacances!
Des énormes joues m'ont poussé pendant la nuit. Mes parents ont ri de moi. Hier, j'étais presque correcte! Maudite planète de cul. haha
La codéine, qui est supposé se transformer en morphine, et les motrins arrivent à masquer la douleur, heureusement. La plupart du temps...
Ce midi, j'ai mangé des côtes levées, même si je suis supposée manger du mou...c'est pas bien. Je ne devrais pas faire ça...
Je me rétablis tranquillement...
Pour l'instant, j'arrive à manger des bouchées de la grosseur d'une framboise, ma bouche n'ouvre pas plus grand...pratique, oui je sais. Et je ne peux pas fermer mes dents ensemble...sinon je me mords les joues (abondamment enflées). Le médecin m'avait dit que certaines personnes enflaient comme des ballons de plage...je n'ai pas de mal à y croire...
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Finalement, j'ai décidé que j'irais à l'après-bal...peu importe si j'ai des amies moumounes, j'ai le droit d'avoir du fun si je veux.
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Ma tante s'en vient de France la semaine prochaine! C'est soudain, mais c'est vraiment bien! En plus, elle va pouvoir venir à la messe des finissants! J'ai tellement hâte que tout ça soit fini...au diable l'école et vive les vacances!
vendredi 29 mai 2009
Opération complétée
Je suis en vie...le pire est à venir, ça n'a pas encore dégelé...
Il avait une énorme seringue méchante...du genre qui fait bien peur...et il avait l'air de bien s'amuser à me la rentrer dans le palais...
«Attention, ça va pincer...»
Enfin...pendant qu'il me piquait, je tremblais comme une feuille. Heureusement que je m'étais apporté de la musique. Le reste a passablement bien été. C'est quand même pas agréable. À la fin, j'étais étourdie. Le médecin était gentil...heureusement.
J'ai l'impression d'être handicapée...surtout avec la face que j'ai...ah que c'est pas beau tu suite...ah que non...
J'espère que ça ne fera pas trop mal...
Il avait une énorme seringue méchante...du genre qui fait bien peur...et il avait l'air de bien s'amuser à me la rentrer dans le palais...
«Attention, ça va pincer...»
Enfin...pendant qu'il me piquait, je tremblais comme une feuille. Heureusement que je m'étais apporté de la musique. Le reste a passablement bien été. C'est quand même pas agréable. À la fin, j'étais étourdie. Le médecin était gentil...heureusement.
J'ai l'impression d'être handicapée...surtout avec la face que j'ai...ah que c'est pas beau tu suite...ah que non...
J'espère que ça ne fera pas trop mal...
jeudi 28 mai 2009
Sagesse
J'ai très peur...demain je me fais enlever les dents de sagesse...j'ai pas du tout envie, moi...de perdre ma sagesse...
La mère de Mathieu a dit que ça lui avait fait plus mal qu'à son accouchement...sympa pour me rassurer, non?
Ma mère est passée chercher mes drogues à la pharmacie...mais ça ne me tente pas quand même...
Le médecin, il est payé 45$ la MINUTE. Pas l'heure...la MINUTE. C'est tout à fait aberrant.
mercredi 27 mai 2009
Les musiciens
J'ai tellement de choses à vous dire...
Vous êtes beaux;
Vous êtes bons;
Vous êtes les meilleurs;
Vous me faites plaisir;
Vous me rendez heureuse;
Vous me faites vivre de belles choses;
Vous rendez le monde meilleur;
Je vous aime.
Je n'aurais manqué ça pour rien au monde. Ça fait des mois que je voulais venir vous voir ce soir. Des années même...le pire, c'est que c'est vrai.
Le combo, aussi, m'a rappelé de bons souvenirs. Je ne tenais plus en place. J'étais trop contente.
Je n'ai pas eu le temps de tous vous féliciter comme il le fallait, mais je me reprendrai.
À l'entracte, j'ai revu plein de gens que je n'avais pas vu depuis bien longtemps, et c'était particulièrement agréable de les trouver là. Les parents de mes ex, par exemple...le père de N m'a fait remarqué que chacune de mes photos représentait une émotion totalement différente...j'ai répondu que c'était pas mal le thème de cette année, un peu ironiquement, mais c'est vrai...mes photos me représentent bien, il faut croire...J'ai aussi présenté chacune de ces photographies aux parents de Laurent, ainsi que Christian, qu'il m'a fait bien plaisir de revoir d'ailleurs. (Ses cheveux sont vraiment trop géniaux.)
Je continuerais bien, mais mon père m'ordonne d'aller me coucher...ciao...
Vous êtes beaux;
Vous êtes bons;
Vous êtes les meilleurs;
Vous me faites plaisir;
Vous me rendez heureuse;
Vous me faites vivre de belles choses;
Vous rendez le monde meilleur;
Je vous aime.
Je n'aurais manqué ça pour rien au monde. Ça fait des mois que je voulais venir vous voir ce soir. Des années même...le pire, c'est que c'est vrai.
Le combo, aussi, m'a rappelé de bons souvenirs. Je ne tenais plus en place. J'étais trop contente.
Je n'ai pas eu le temps de tous vous féliciter comme il le fallait, mais je me reprendrai.
À l'entracte, j'ai revu plein de gens que je n'avais pas vu depuis bien longtemps, et c'était particulièrement agréable de les trouver là. Les parents de mes ex, par exemple...le père de N m'a fait remarqué que chacune de mes photos représentait une émotion totalement différente...j'ai répondu que c'était pas mal le thème de cette année, un peu ironiquement, mais c'est vrai...mes photos me représentent bien, il faut croire...J'ai aussi présenté chacune de ces photographies aux parents de Laurent, ainsi que Christian, qu'il m'a fait bien plaisir de revoir d'ailleurs. (Ses cheveux sont vraiment trop géniaux.)
Je continuerais bien, mais mon père m'ordonne d'aller me coucher...ciao...
Insatisfactions
J'ai trouvé ça en feuilletant le blog de Life Saveur...C'est tellement vrai que j'en suis tout ébranlée!
«Dans une simplicité volontaire de l’esprit, dans un constat simpliste au possible, il faut réaliser que la plupart de nos insatisfactions sont causés parce que:
• On ne retrouve plus la motivation nécessaire à une évolution a la hauteur de nos attentes.
• Qu’il n’y a rien dans l’acquis pour satisfaire un besoin d’élargissement des horizons.
• Qu’il y a des limites à faire du neuf avec du vieux.
• Qu’on fini par se lasser du décor d'un même chemin emprunté.
• Qu’un fossé s’est creusé entre les attentes et la réalité.
• Qu’un bilan s’impose.»
Tout tourne autour de ça. C'est étonnant.
«Dans une simplicité volontaire de l’esprit, dans un constat simpliste au possible, il faut réaliser que la plupart de nos insatisfactions sont causés parce que:
• On ne retrouve plus la motivation nécessaire à une évolution a la hauteur de nos attentes.
• Qu’il n’y a rien dans l’acquis pour satisfaire un besoin d’élargissement des horizons.
• Qu’il y a des limites à faire du neuf avec du vieux.
• Qu’on fini par se lasser du décor d'un même chemin emprunté.
• Qu’un fossé s’est creusé entre les attentes et la réalité.
• Qu’un bilan s’impose.»
Tout tourne autour de ça. C'est étonnant.
mardi 26 mai 2009
Distraite
Je fais de plus en plus de fautes de français quand j'écris...ça m'enrage. Le pire, c'est que j'essaie de me relire la plupart du temps, et ça sort tout croche quand même...
Je suis tout à fait distraite...
Je ne sais pas à quoi je pense...
Pas moyen de me concentrer.
Je suis tout à fait distraite...
Je ne sais pas à quoi je pense...
Pas moyen de me concentrer.
Modération
Je viens de désactiver la modération des commentaires sur mon blog...ça faisait longtemps que je voulais le changer, mais je n'y pensais pas...
De toute façon, je n'ai jamais eu à bannir de commentaire...alors ça ne servait à rien.
Commentez, commentez!
Noubliez pas, la mort censure et la censure tue.
De toute façon, je n'ai jamais eu à bannir de commentaire...alors ça ne servait à rien.
Commentez, commentez!
Noubliez pas, la mort censure et la censure tue.
Euh...
Avec Marie qui rit du gars au sac rouge qui est avec sa blonde au fond du bus, je m'amuse bien. Son frère les a vus...Parrait qu'ils étaient quasi en train de baiser dans l'autobus la dernière fois...
Y'a des places pour ça...le bus N'EN EST PAS UNE. R'tenez vous 20 minutes, ça va être correct...Surtout quand il y a du monde autour...s'il vous plait.
On s'calme les hormones, les amis! Je sais que c'est le printemps, mais un petit effort serait apprécié...
Y'a des places pour ça...le bus N'EN EST PAS UNE. R'tenez vous 20 minutes, ça va être correct...Surtout quand il y a du monde autour...s'il vous plait.
On s'calme les hormones, les amis! Je sais que c'est le printemps, mais un petit effort serait apprécié...
lundi 25 mai 2009
Dernier lab...
Il y a quelques jours, nous avons fait des tirages pour la dernière fois en lab de photo dans cette école. C'était la dernière fois que j'utilisais mon agrandisseur, celui du coin, on s'attache à ces petites bêtes-là...la dernière fois aussi que j'utilisais l'horloge (minuteur), la loupe, le margeur, la plaque pour les planches-contacts, les filtres, les bacs, les chimies, la corde à linge où on fait sécher les tirages...
L'odeur des produits chimiques, le révélateur, bain d'arrêt et fixateur...l'apparition de l'image dans le premier bac, les tests, quand il fallait brûler, recommencer, jouer avec les contrastes...les lumières inactiniques rouges, la noirceur, la dame en sarrau blanc...
Oh que j'ai aimé ces heures passées enfermée dans cette petite salle à faire apparaître des images, des rêves, des illusions. À transmettre une vision des choses.
L'odeur des produits chimiques, le révélateur, bain d'arrêt et fixateur...l'apparition de l'image dans le premier bac, les tests, quand il fallait brûler, recommencer, jouer avec les contrastes...les lumières inactiniques rouges, la noirceur, la dame en sarrau blanc...
Oh que j'ai aimé ces heures passées enfermée dans cette petite salle à faire apparaître des images, des rêves, des illusions. À transmettre une vision des choses.
dimanche 24 mai 2009
Le vendeur de mangues
Au marché Jean-Talon, il était magnifique, avec un superbe sourire.
Je lui ai acheté une mangue, parce qu'elles étaient bonnes et qu'il avait l'air gentil.
On s'est parlé un peu, on a ri.
Je vais devoir retourner là-bas...pour ses beaux yeux et les mangues.
C'est drôle, je viens de m'apercevoir que mangue rime avec langue. Ce n'est certainement pas un hasard. Je suis sûre que certains mots ont été inventés pour rimer avec d'autres...
Je lui ai acheté une mangue, parce qu'elles étaient bonnes et qu'il avait l'air gentil.
On s'est parlé un peu, on a ri.
Je vais devoir retourner là-bas...pour ses beaux yeux et les mangues.
C'est drôle, je viens de m'apercevoir que mangue rime avec langue. Ce n'est certainement pas un hasard. Je suis sûre que certains mots ont été inventés pour rimer avec d'autres...
I'll be back
Bon alors voilà, fini ce défi. Ce fut agréable et pas difficile du tout en fin de compte.
Je vous disais que c'était sûrement la journée la plus stressante de ma vie...pour vous dire, quand je suis allée chercher Eni à l'aéroport, il y a quelques semaines, je stressais par association. Pourtant, je n'avais aucune raison de stresser ! Ça m'a marqué, il faut croire !
En fait, c'est ce qui m'a fait penser à cette belle histoire et qui m'a donné envie de vous la raconter. Ça faisait déjà quelques semaines que je cherchais comment le faire et vous m'avez donner la forme. Merci !
Cette année, c'est moi qui rentrerai le 31 juillet. J'ai réalisé ça il y a quelques jours.
Si Laurent fait un peu de ménage dans sa bibliothèque, je vais peut-être pouvoir vous raconter une autre petite histoire...enfin...il sait ce que je veux dire. Parce que sans ça, ça n'a aucune crédibilité. Sinon, c'est pas grave.
Je crois que je m'éloigne du sujet là...
Bref, j'espère que vous avez apprécié,
Bonne journée!
Je vous disais que c'était sûrement la journée la plus stressante de ma vie...pour vous dire, quand je suis allée chercher Eni à l'aéroport, il y a quelques semaines, je stressais par association. Pourtant, je n'avais aucune raison de stresser ! Ça m'a marqué, il faut croire !
En fait, c'est ce qui m'a fait penser à cette belle histoire et qui m'a donné envie de vous la raconter. Ça faisait déjà quelques semaines que je cherchais comment le faire et vous m'avez donner la forme. Merci !
Cette année, c'est moi qui rentrerai le 31 juillet. J'ai réalisé ça il y a quelques jours.
Si Laurent fait un peu de ménage dans sa bibliothèque, je vais peut-être pouvoir vous raconter une autre petite histoire...enfin...il sait ce que je veux dire. Parce que sans ça, ça n'a aucune crédibilité. Sinon, c'est pas grave.
Je crois que je m'éloigne du sujet là...
Bref, j'espère que vous avez apprécié,
Bonne journée!
Partie 7
À la maison, ils mangèrent un peu, il alla se doucher. Avec le décalage horaire, il devait bien être rendu 3-4 heures du matin pour lui.
Ils parlèrent longtemps, ils ne se lâchaient plus.
Elle s’endormit dans ses bras. Mieux que jamais.
***
Au petit matin, elle le sentit partir. Il se levait. Elle ouvrit un œil. Il lui dit de se rendormir, qu’il revenait bientôt et l’embrassa dans le cou.
Elle sourit, ferma les yeux.
Quelques minutes plus tard, un plateau avec des bagels, deux grands verres de jus d’orange et des noisettes enrobées de chocolat, le tout saupoudré de cacao et agrémenté de feuilles de menthe était posé sur l’oreiller.
Lorsqu’ils se levèrent enfin, il devait être midi.
FIN
Ils parlèrent longtemps, ils ne se lâchaient plus.
Elle s’endormit dans ses bras. Mieux que jamais.
***
Au petit matin, elle le sentit partir. Il se levait. Elle ouvrit un œil. Il lui dit de se rendormir, qu’il revenait bientôt et l’embrassa dans le cou.
Elle sourit, ferma les yeux.
Quelques minutes plus tard, un plateau avec des bagels, deux grands verres de jus d’orange et des noisettes enrobées de chocolat, le tout saupoudré de cacao et agrémenté de feuilles de menthe était posé sur l’oreiller.
Lorsqu’ils se levèrent enfin, il devait être midi.
FIN
samedi 23 mai 2009
Partie 6
Il l’a vue. Il avait l’air étonné, surpris, mais heureux. Il souriait. Il a laissé tomber les valises et l’a serrée tendrement contre lui. Elle sentait son cœur battre contre elle, il l’embrassa. Il ne voulait plus la lâcher et elle ne lui offrit aucune résistance.
De leur côté, Gen et son copain étaient tout aussi occupés.
Après un moment, ils consentirent à bouger, ils étaient en plein milieu de l’allée. Elles embrassèrent les beaux-parents qui partirent de leur côté, le sourire aux lèvres.
Une fois dans le stationnement, à la recherche de la voiture, il lui tenait la main, ils se racontaient des anecdotes, ils étaient heureux. Même si elles avaient égarée la voiture. Cela n’importait pas vraiment.
De leur côté, Gen et son copain étaient tout aussi occupés.
Après un moment, ils consentirent à bouger, ils étaient en plein milieu de l’allée. Elles embrassèrent les beaux-parents qui partirent de leur côté, le sourire aux lèvres.
Une fois dans le stationnement, à la recherche de la voiture, il lui tenait la main, ils se racontaient des anecdotes, ils étaient heureux. Même si elles avaient égarée la voiture. Cela n’importait pas vraiment.
vendredi 22 mai 2009
Cirque
Je viens tout juste de voir une annonce de la Tohu à la télévision.
La vie va être re-présentée en septembre...
Si vous n'avez pas encore eu la chance de voir ça, courez les amis...courez.
Ça vaut vraiment la peine.
J'ai envie d'y retourner...j'irai voir Psy...en février prochain...
J'ai déjà hâte!
La vie va être re-présentée en septembre...
Si vous n'avez pas encore eu la chance de voir ça, courez les amis...courez.
Ça vaut vraiment la peine.
J'ai envie d'y retourner...j'irai voir Psy...en février prochain...
J'ai déjà hâte!
Partie 5
Elles étaient presque une heure d’avance selon le tableau des arrivées. Elles avaient des papillons dans le ventre, des énormes papillons surexcités. Elles stressaient comme jamais, elles sautillaient sur place, allaient prendre des marches pour passer le temps tout en gardant les yeux rivés sur le tableau. Bien sûr, c’est toujours la ligne du vol qu’on cherche qui n’est pas mise à jour.
Après une demi-heure d’attente, celui-ci indiqua que le vol en provenance de Paris-Charles-de-Gaulle était retardé. Merde!
Elles pouvaient à peine respirer tant l’attente était dure.
Tout ce manque accumulé concentré était particulièrement tenant.
Quand finalement l’avion se posa, leur énervement dépassait les limites de l’entendement.
Encore quelques minutes et…!
Les premiers passagers étiquetés de Paris commencèrent à arriver. Un ou deux à la fois, pas trop vite, mêlés à ceux d’une autre ville.
Elles cherchaient deux grands gars aux cheveux bruns, ou une tête blonde à la limite. Elles se tenaient sur la pointe des pieds, car elles n’étaient pas très grandes, pour voir au dessus des épaules des autres personnes qui attendaient.
- C’est eux!
- Ben non, c’est pas eux…
- Ah c’est vrai…tu as raison.
- Je suis tellement stressée! J’me peux pu!
- Moi pareil.
- Là c’est eux par exemple!
- Tu penses?! ouiiii
C’était vraiment eux.
Après une demi-heure d’attente, celui-ci indiqua que le vol en provenance de Paris-Charles-de-Gaulle était retardé. Merde!
Elles pouvaient à peine respirer tant l’attente était dure.
Tout ce manque accumulé concentré était particulièrement tenant.
Quand finalement l’avion se posa, leur énervement dépassait les limites de l’entendement.
Encore quelques minutes et…!
Les premiers passagers étiquetés de Paris commencèrent à arriver. Un ou deux à la fois, pas trop vite, mêlés à ceux d’une autre ville.
Elles cherchaient deux grands gars aux cheveux bruns, ou une tête blonde à la limite. Elles se tenaient sur la pointe des pieds, car elles n’étaient pas très grandes, pour voir au dessus des épaules des autres personnes qui attendaient.
- C’est eux!
- Ben non, c’est pas eux…
- Ah c’est vrai…tu as raison.
- Je suis tellement stressée! J’me peux pu!
- Moi pareil.
- Là c’est eux par exemple!
- Tu penses?! ouiiii
C’était vraiment eux.
jeudi 21 mai 2009
Cours, cours, cours...
Olà!
Je suis fatiguée là. Mais tantôt, je risque d'aller manger une crème glacée avec Marie. Je suis toute contente!
Aujourd'hui, alors qu'il faisait super beau et que je pensais que nous allions dehors jouer au fresbee, nous avons plutôt couru le 24 minutes. Vingt-quatre longues minutes. J'avais prédit que cette journée serait celle de ma mort. J'appréhendais beaucoup, vous voyez...
J'étais très déçue et désapointée quand Adrien m'a annoncé que c'était aujourd'hui.
Je l'ai couru.
Je m'étais fixé comme objectif de faire 3500 mètres, pour avoir 60%, ce qui me semblait être une note raisonnable. Finalement, j'ai fait 4100 mètres, 600 mètres d'extra! J'étais pas mal contente. En plus, ça me fait 79%, ce qui est une note plus que parfaite. J'en suis très satisfaite. Au début de l'année, je n'aurais jamais été capable de faire ça. Jamais. Je serais morte avant. Mais pas aujourd'hui! Je suis très fière de moi. Je dois l'avouer.
Ah et le sprint à la fin, le dernier 100 mètres en 18 secondes là, je suis allée le chercher loin...j'avais l'impression que mes jambes avançaient sans moi...et après, tout tournait autour de moi, mais j'étais tellement heureuse! Ah...vive l'endorphine!
_________________________________
Après tous ces efforts, je suis rentrée chez moi, je me suis changée vite fait et j'ai attrappé mon appareil photo.
J'ai fait profité du soleil à mes jambes pâles et j'ai marché à la recherche de couleur pour mes photos diapos.
J'ai photographié des bouchers devant la boucherie, et plein d'autres choses dont ma tête est présentement incapable de se rappeler.
J'ai aidé un vieux monsieur avec une canne d'aveugle à traverser une rue. C'était un vieux grincheux qui s'obstinait avec moi, car il ne me croyait pas que je l'emmenais du côté ouest de la rue...et c'est là qu'il voulait aller...je suis peut-être nulle en orientation, mais je suis quand même capable de savoir il est où le côté ouest. Je l'ai laissé aux bons soins d'un brigadier qui passait par là pour le reste. Moi, j'avais des photos à prendre.
J'ai marché dans le soleil, j'avais soif. Heureusement, un gamin dans un parc m'a conduit jusqu'à une fontaine, ce qui m'a permis de remplir ma bouteille et ne pas me déshydrater. Merci jeune coco!
Je suis passée par des ruelles, j'ai vu jouer des enfants, un vieux monsieur m'a proposé une cigarette et m'a demandé si je voulais le prendre en photo lui et son ami...tout simplement non merci. J'ai continué. J'ai croisé l'école et un tas d'élèves qui y traînaient encore...
J'ai passé St-Michel. Quelques rues plus loin, j'ai croisé M.Beauchamp et M.Lafrance à une terrasse. M.Beauchamp m'a salué, il le fait toujours, il m'a dit «Fred!», avec le plus beau sourire du monde. Je l'aime bien celui-là...Il a ajouté quelques trucs et à fini par «Pas de photo, hein!» Non non, vous pouvez dormir tranquille, je ne harcèle pas les gens pour les photographier. Je ne les ai pas dérangé plus longtemps. Chaque fois que je croise cet homme-là, je repars avec le sourire. C'est immanquable.
J'ai encore marché plus loin. En faisant bien des détours et des zigzags, jusqu'à un peu plus loin que le métro Beaubien. Je suis rentrée en bus, j'avais mal partout et le souper allait être près. Je n'avais même plus d'eau!
Avec tout ça, j'ai fait la moitié de mon film. Ce n'est pas vraiment suffisant, mais je ne peux pas faire de miracle non plus. J'ai bien apprécié ma journée finalement...
Manque plus qu'un peu de crème glacée et je vais pouvoir aller me coucher...Mariiiie????
Partie 4
Le matin du jour J, elle était tellement énervée qu’elle ne tenait plus en place. Elle essaya tous ses vêtements au moins deux fois et demanda conseil à un ami avant de se décider pour son haut orangé. Il ne devait pas la manquer.
Vers la fin de l’après-midi, Gen passa la chercher en voiture, comme prévu. Elle aussi était terriblement stressée. En s’en allant à l’aéroport, elles imaginèrent tous les scénarios possibles. Allaient-ils être contents? Déçus? Indifférents? Elles appréhendaient les «Qu’est-ce que tu fais là?», les «Tu ne m’avais pas prévenu…» et les «Pourquoi t’es là?».
Rien n’est plus imaginatif que 2 filles stressées et amoureuses.
Elles tentaient de se rassurer l’une l’autre malgré les 5 ans qui les séparaient.
La voiture garée, elles se dirigèrent vers l’aire des arrivées internationales.
Vers la fin de l’après-midi, Gen passa la chercher en voiture, comme prévu. Elle aussi était terriblement stressée. En s’en allant à l’aéroport, elles imaginèrent tous les scénarios possibles. Allaient-ils être contents? Déçus? Indifférents? Elles appréhendaient les «Qu’est-ce que tu fais là?», les «Tu ne m’avais pas prévenu…» et les «Pourquoi t’es là?».
Rien n’est plus imaginatif que 2 filles stressées et amoureuses.
Elles tentaient de se rassurer l’une l’autre malgré les 5 ans qui les séparaient.
La voiture garée, elles se dirigèrent vers l’aire des arrivées internationales.
mercredi 20 mai 2009
Il y a les ronds, et il y a les carrés.
Ce soir, Michael était incontrolable. Un petit monstre. Être sa mère, je peux vous assurer qu'il ne s'en tirerait pas si facilement. Il y a toujours ben des limites à manipuler les gens! À se frapper et à se rouler par terre en gueulant, pleurant, crachant pour avoir un stupide crayon! Quand c'est le quatorzième que tu lui donnes et qu'à chaque fois que tu en sors un autre plus laid et qui écrit encore plus mal, il le veut encore (crise comprise), ET les parents arrivent et disent «Qu'est-ce qu'il veut encore?
- Le crayon avec lequel Mathieu est en train de faire ses devoirs...
- Donne-le-lui...ça va le calmer...»
Ça, ça me frustre profondément. C'est tout à fait exagéré et cet enfant va devenir encore pire avec les années s'il a tout le temps ce qu'il veut quand il fait ses crises. Imaginez...il n'a que 2 ans...
Ce soir j'ai pris une photo d'une usine de Coca Cola. Les employés en pause devant la bâtisse me regardaient en se disant que je venais prendre une photo d'eux et riaient, c'est toujours ça qu'ils font, les gens, mais cette fois, c'était de bon coeur.
Ce soir, je suis passée à la pharmacie, pour la première fois depuis un bon bout. C'est fou comme les habitudes reviennent vite.
Ce soir, j'ai fait l'aller-retour dans les ascenseurs de l'hôpital Maisonneuve-Rosemont, je me suis arrêtée à l'étage des bébés. L'étage des tout petits bouts de chou que j'ai entendus pleurer de leur petit cris adorables. C'est impossible de ne pas être touché par un tout petit minuscule poupon...je les adore...j'en veux 4, SVP! Pour emporter!
Un petit plus: +
Partie 3
Huit heures d’avion plus tard, elle remettait finalement les pieds au Canada. Plus loin que jamais de celui qu’elle aimait. Elle faisait tout ce qu’elle pouvait pour faire passer le temps plus vite, mais le temps a cela de méchant, il ne se presse pas pour les gens impatients.
Un matin, le téléphone sonna.
C’était pour elle.
C’était lui.
Il l’appelait de Paris.
Les petits couples qu’il y voyait, sous la tour Eiffel, au musée d’Orsay, dans les rues, lui faisait regretter qu’elle soit si loin. Ils parlèrent longtemps, mais pas trop pour ne pas faire exploser la facture. Elle fit de son mieux pour entretenir le gros mensonge qu’elle avait monté avec Gen. Ils se dirent qu’ils s’aimaient, qu’ils avaient hâte de se voir. Ils raccrochèrent.
Son cœur battait fort quand elle reposa le combiné. Sa voix lui manquait déjà, mais il ne restait plus que quelques jours.
Un matin, le téléphone sonna.
C’était pour elle.
C’était lui.
Il l’appelait de Paris.
Les petits couples qu’il y voyait, sous la tour Eiffel, au musée d’Orsay, dans les rues, lui faisait regretter qu’elle soit si loin. Ils parlèrent longtemps, mais pas trop pour ne pas faire exploser la facture. Elle fit de son mieux pour entretenir le gros mensonge qu’elle avait monté avec Gen. Ils se dirent qu’ils s’aimaient, qu’ils avaient hâte de se voir. Ils raccrochèrent.
Son cœur battait fort quand elle reposa le combiné. Sa voix lui manquait déjà, mais il ne restait plus que quelques jours.
mardi 19 mai 2009
Partie 2
Le jour du retour au Canada est arrivé pour elle. La même date, il partait de l’Italie pour aller à Paris. Et cela, en passant par le même aéroport, à Rome. Leurs vols étaient sensiblement à la même heure. Avec un peu de chance, ils réussiraient à se croiser.
Après avoir rendu la voiture de location, fait enregistrer les bagages et récupérer sa carte d’embarquement, elle se dirigea vers le Terminal A de l’Aéroport Léonard-de-Vinci de Rome Fiumicino. Elle le cherchait partout dans la cohue italienne. Chaque fois qu’elle croisait un panneau des départs ou arrivées, elle tentait de savoir s’il pouvait être quelque part, à quel terminal… Tout allait tellement vite.
Dans les haut-parleurs, la voix aigue de la dame annonça en italien l’embarquement de son de vol.
Elle n’avait plus le choix.
En marchant sur la piste, en montant les escaliers pour entrer dans l’avion, elle regardait derrière elle en tentant de le trouver, embarquant dans l’appareil d’à côté ou marchant jusqu’à un autre terminal…
Rien.
À contre cœur, elle mit le pied dans l’avion, la larme à l’œil, le cœur gros d’avoir tant espérer.
De son côté, au Terminal C, il l’avait cherchée aussi, sans succès. Pendant près d’une heure et quart, ils avaient été à moins d’un kilomètre l’un de l’autre, mais ils n’avaient pas le temps.
Après avoir rendu la voiture de location, fait enregistrer les bagages et récupérer sa carte d’embarquement, elle se dirigea vers le Terminal A de l’Aéroport Léonard-de-Vinci de Rome Fiumicino. Elle le cherchait partout dans la cohue italienne. Chaque fois qu’elle croisait un panneau des départs ou arrivées, elle tentait de savoir s’il pouvait être quelque part, à quel terminal… Tout allait tellement vite.
Dans les haut-parleurs, la voix aigue de la dame annonça en italien l’embarquement de son de vol.
Elle n’avait plus le choix.
En marchant sur la piste, en montant les escaliers pour entrer dans l’avion, elle regardait derrière elle en tentant de le trouver, embarquant dans l’appareil d’à côté ou marchant jusqu’à un autre terminal…
Rien.
À contre cœur, elle mit le pied dans l’avion, la larme à l’œil, le cœur gros d’avoir tant espérer.
De son côté, au Terminal C, il l’avait cherchée aussi, sans succès. Pendant près d’une heure et quart, ils avaient été à moins d’un kilomètre l’un de l’autre, mais ils n’avaient pas le temps.
lundi 18 mai 2009
Sous la douuuuche
En attendant, vous pouvez toujours allez vous délecter des quelques lignes farfelues que je me suis amusée à poster là.
Première partie
C’était l’été. L’été où il a plu 21 jours sur 31 en juillet. Sur ces 21 jours-là, elle en avait passé 19 en Italie, avec une température moyenne de 33 degrés et pas une seule goutte de pluie. Le plus beau, c’est que lui aussi y était…200km plus au sud, en Calabre. Et en France un bout de temps aussi. Une torture morale. Un mois sans se voir. Un mois à s’envoyer des dizaines de mails teintés de cette ambiance d’Italie qui réussissait à les imprégner. Un mois à compter les dodos. Un mois à regarder la même mer turquoise et à ne pas pouvoir se coller.
Elle rentrait presque une semaine avant lui et appréhendait déjà l’attente interminable que ce serait. Attendre de pouvoir enfin le voir le jour de son retour. 20h, chez lui qu’ils s’étaient entendus.
Entre temps, elle avait planifié un tout autre déroulement pour cette journée avec la copine du frère de son chum.
Elle rentrait presque une semaine avant lui et appréhendait déjà l’attente interminable que ce serait. Attendre de pouvoir enfin le voir le jour de son retour. 20h, chez lui qu’ils s’étaient entendus.
Entre temps, elle avait planifié un tout autre déroulement pour cette journée avec la copine du frère de son chum.
dimanche 17 mai 2009
Voilà
À partir de demain, vous aurez votre défi.
Conformément à ce que vous vouliez. Mes souvenirs, minimum 100 mots par jours.
C'est, en gros, l'histoire d'une des journées les plus stressantes de ma vie, que vous le croyiez ou non.
Je crois que je suis meilleure pour le tragique...enfin...ce n'est pas plus grave.
Le défi n'était pas d'écrire, mais bien de faire lire ce que j'ai écrit. J'me pile dessus en ce moment.
Vous chialerez à la fin si vous n'êtes pas contents. :)
Conformément à ce que vous vouliez. Mes souvenirs, minimum 100 mots par jours.
C'est, en gros, l'histoire d'une des journées les plus stressantes de ma vie, que vous le croyiez ou non.
Je crois que je suis meilleure pour le tragique...enfin...ce n'est pas plus grave.
Le défi n'était pas d'écrire, mais bien de faire lire ce que j'ai écrit. J'me pile dessus en ce moment.
Vous chialerez à la fin si vous n'êtes pas contents. :)
Défiez-moi.
Qu'est-ce qui vous tente?
Qu'est-ce que vous aimez lire?
Vous voulez que je vous écrive quoi?
Ce n'est pas l'inspiration qui manque, mais la forme.
Des nouvelles, récits, poésies, dialogues, réflexions, ce que vous voulez...
J'ai besoin d'un petit défi.
Si Mathieu a réussi à écrire un poème superbe contenant «prépuce» et «gland», je crois que tout est permis.
Qu'est-ce que vous aimez lire?
Vous voulez que je vous écrive quoi?
Ce n'est pas l'inspiration qui manque, mais la forme.
Des nouvelles, récits, poésies, dialogues, réflexions, ce que vous voulez...
J'ai besoin d'un petit défi.
Si Mathieu a réussi à écrire un poème superbe contenant «prépuce» et «gland», je crois que tout est permis.
samedi 16 mai 2009
Poésies & Facéties
Mathieu (non, pas celui de 8 ans, celui de la Bouteille Noire) présentait cette semaine la première édition du festival Poésies & Facéties.
C'est vraiment à voir.
C'est ce que j'ai lu de plus beau depuis un petit bout de temps. Une musicalité toute spéciale, j'adore.
Ce qu'il arrive à décrire en quatre lignes...
Je suis charmée.
Vous pouvez allez le lire à partir de mes contacts, à droite de mon blog, ou par ici.
J'espère qu'il y aura plusieurs autres éditions de ce festival...même s'il avait l'air de dire que ça ne se ferait pas...enfin...
C'est vraiment à voir.
C'est ce que j'ai lu de plus beau depuis un petit bout de temps. Une musicalité toute spéciale, j'adore.
Ce qu'il arrive à décrire en quatre lignes...
Je suis charmée.
Vous pouvez allez le lire à partir de mes contacts, à droite de mon blog, ou par ici.
J'espère qu'il y aura plusieurs autres éditions de ce festival...même s'il avait l'air de dire que ça ne se ferait pas...enfin...
vendredi 15 mai 2009
Tiramisu
Je me sens bien là. C'est fou comme certaines choses peuvent nous faire du bien. Je ne veux pas penser à demain. Mais en disant ça, j'y pense. Je me concentre sur la musique qui m'arrive. Mmmm...de la guitare. Plus bel instrument du monde. Je regrette vraiment de n'avoir aucune capacité pour en jouer...Il y en a une qui traîne dans mon salon et les 2 seuls accords qu'on a daigner me montrer sont depuis longtemps disparus de ma mémoire. Un jour peut-être...
Peut-être aussi que je deviendrai marchande de tapis volants, réparatrice de parapluies, ou même conteuse dans une école primaire.
Championne olympique de bobsleigh?
Je vais concentrer mes efforts sur des objectifs réalisables. Un jour, je saurai ce que je veux...ou pas. En attendant, je vais essayer une couple d'affaires. J'ai un tiramisu à faire...la recette donnait 3 choix d'alcools pour mettre dedans, je ne me rappelle que de 2 (grappa et liqueur de café), mais ce que je sais, c'est que je n'ai aucun des trois dans mon sous-sol...ça part mal.
Ne pas se laisser décourager par de si menus obstacles. Je n'en ai besoin que d'un tout petit peu...
Vous savez si on peut mettre un autre alcool?
Peut-être aussi que je deviendrai marchande de tapis volants, réparatrice de parapluies, ou même conteuse dans une école primaire.
Championne olympique de bobsleigh?
Je vais concentrer mes efforts sur des objectifs réalisables. Un jour, je saurai ce que je veux...ou pas. En attendant, je vais essayer une couple d'affaires. J'ai un tiramisu à faire...la recette donnait 3 choix d'alcools pour mettre dedans, je ne me rappelle que de 2 (grappa et liqueur de café), mais ce que je sais, c'est que je n'ai aucun des trois dans mon sous-sol...ça part mal.
Ne pas se laisser décourager par de si menus obstacles. Je n'en ai besoin que d'un tout petit peu...
Vous savez si on peut mettre un autre alcool?
jeudi 14 mai 2009
Poésie charmante
Je viens d'étudier à la hâte Prévert, Aragon et Éluard ainsi que le surréalisme pour l'examen de demain.
Je me demande si je vais avoir des points si ce que j'écris est...surréaliste dans l'examen...ça prouverait que j'ai compris, non? Je «m'ostinerai» avec madame la professeure un autre jour.
Ce n'est pas que j'ai mal étudié, mais j'ai l'impression que c'est un gros ramassis de plein d'informations que je viens de m'enfoncer dans le crâne à coup de marteau en mousse. Ça va bien aller. J'ai confiance en moi.
B.É.A.P.S
C'est tout ce que j'ai à me souvenir et ça va magnifiquement bien se passer. B pour Breton, É pour Éluard, A pour Aragon, P pour Peret et S pour Soupault. Les 5 de la clique surréaliste.
Il faudrait aussi que je me souvienne un peu de la vie des trois hommes que j'ai nommés à la première ligne. Ils sont mélangeant avec leur Elsa, Helena, Gala, Tricotet, Triolet, Michelle et Cécile.
Je dois absolument me souvenir d' Eugène Émile Paul Grindel, le vrai nom de Paul Éluard, c'est tellement beau.
Sur ce, je suis particulièrement crevée, je vais faire dodo.
Je me demande si je vais avoir des points si ce que j'écris est...surréaliste dans l'examen...ça prouverait que j'ai compris, non? Je «m'ostinerai» avec madame la professeure un autre jour.
Ce n'est pas que j'ai mal étudié, mais j'ai l'impression que c'est un gros ramassis de plein d'informations que je viens de m'enfoncer dans le crâne à coup de marteau en mousse. Ça va bien aller. J'ai confiance en moi.
B.É.A.P.S
C'est tout ce que j'ai à me souvenir et ça va magnifiquement bien se passer. B pour Breton, É pour Éluard, A pour Aragon, P pour Peret et S pour Soupault. Les 5 de la clique surréaliste.
Il faudrait aussi que je me souvienne un peu de la vie des trois hommes que j'ai nommés à la première ligne. Ils sont mélangeant avec leur Elsa, Helena, Gala, Tricotet, Triolet, Michelle et Cécile.
Je dois absolument me souvenir d' Eugène Émile Paul Grindel, le vrai nom de Paul Éluard, c'est tellement beau.
Sur ce, je suis particulièrement crevée, je vais faire dodo.
Charcuterie
Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai présentement une espèce de petite frustration au fond de moi.
Une espèce de boule de méchant si vous voulez. Toute petite, juste assez pour déranger.
Ça a peut-être un lien avec les travaux de chimie, physique et TMS que je m'en vais faire avec C après le souper...
C'est demain qu'elle se fait charcuter. Je suis convaincue qu'elle a hâte. Elle en parle tout le temps.
Une espèce de boule de méchant si vous voulez. Toute petite, juste assez pour déranger.
Ça a peut-être un lien avec les travaux de chimie, physique et TMS que je m'en vais faire avec C après le souper...
C'est demain qu'elle se fait charcuter. Je suis convaincue qu'elle a hâte. Elle en parle tout le temps.
mercredi 13 mai 2009
Prodigieusement drôle
J'ai l'impression que c'est la première fois cette semaine que je peux relaxer un petit peu, ça fait du bien.
On a tellement de choses à faire que plus personne n'a le temps de dormir. Je suis crevée et je me suis cassé un ongle (vous vouliez le savoir, je sais).
Tantôt, je lisais Le Prodige. Je le lis depuis quelques mois et c'est, de loin, le blog le plus déplacé et de mauvais goût que j'aie vu, MAIS, quand il s'en prend à Tchendoh, c'est tellement drôle que ça vaut la peine de subir son niaisage. Ça fait tellement gars jaloux!
Il est tout le temps là avec des «moi si...» et ça fait juste rajouter au ridicule. Magnifique.
____________
Pour vous donnez une idée du genre de gars, il est du genre à dire (et je cite) : «[...]si tu veux en baiser une qui est mineure, congédie la avant de la sauter. C’est la base !!!»
Par contre, j'ai un ou 2 thumbs up à lui faire pour son post Elle se respecte pas! parce que pour une fois, c'était bien. Je ne dis pas que je suis d'accord avec tout ce qu'il avance, mais ça ne m'a pas mis hors de moi, pour une fois.
Bref...je suis sûre que, dans le fond, il l'aime bien, Tchendoh.
mardi 12 mai 2009
Petit couple heureux
La dernière petite histoire de L m'a fait pensé à un message que je veux écrire depuis longtemps et que j'oublie ou reporte toujours, faute de temps, ou par paresse. Donc...
Quand je regarde autour de moi, je me rends compte que les gens passent à travers des épreuves tellement immenses, mais ont quand même l'air heureux. Je me dis souvent que si eux ont réussi, mes petits problèmes ne valent même pas la peine d'être exprimés. En fait, quand j'arrive le matin à mon casier et que je dois interrompre le petit couple qui s'embrase devant pour atteindre mon cadenas, je trouve ça mignon, et ça me fait du bien. Je ne sais pas comment elle a fait pour survivre à ça et être aussi bien aujourd'hui... Ça me fait du bien de la savoir heureuse. Ça me fait du bien qu'ils s'aiment. Ça me fait du bien de voir un peu de bonheur. C'est tellement rare de nos jours.
Ça me fait rire aussi parce que son copain, c'est le garçon que j'aimais quand j'avais 8 ans. (toutes les filles étaient après...c'était The One) Je n'ai jamais été aussi heureuse pour lui.
Enfin...j'espère qu'ils sont toujours ensemble! Je ne les ai pas vus aujourd'hui...vous en savez quelque chose?
Danse
Oh!! Que j'ai aimé dansé!
J'aurais continué pendant des heures...
J'ai dansé la valse avec Catherine, 4'11''. C'est elle qui faisait le gars...C'était pas mal drôle, ça déstabilise!
J'ai dansé le cha-cha avec MJ, aucune idée c'est qui qui faisait le gars, mais on était en feu! YEAH!
Mon but pour le bal: Danser avec M.Choquette!!! Regardez-moi ben aller!
J'aurais continué pendant des heures...
J'ai dansé la valse avec Catherine, 4'11''. C'est elle qui faisait le gars...C'était pas mal drôle, ça déstabilise!
J'ai dansé le cha-cha avec MJ, aucune idée c'est qui qui faisait le gars, mais on était en feu! YEAH!
Mon but pour le bal: Danser avec M.Choquette!!! Regardez-moi ben aller!
lundi 11 mai 2009
Les Aztèques
La semaine dernière, chez Mathieu, petite séance d'histoire-géo.
Moi: Non, les Incas, ils étaient plus au sud, au Pérou, dans ce coin là (je lui montre la carte). Là, au Mexique, c'était plutôt les Aztèques.
Mathieu: Ok.
Moi: Ils étaient assez spéciaux les Aztèques.
Mathieu: Pourquoi?
Moi: Ils faisaient des sacrifices humains!
Mathieu: ...
Moi: Et ils arrachaient le coeur de la personne qui était sacrifiée pour le donner au Dieu-Soleil.
[il réfléchit un instant les yeux écarquillés]
Mathieu: C'est bien dégueulasse! Ils n'avaient même pas de GANTS!
[je me suis retenue pour ne pas rire, c'était trop mignon.]
Moi: Oui, c'est vrai, tu as raison.
[...] Un peu plus tard...toujours au sujet des Aztèques
Mathieu: Ils fabriquaient de l'or, eux, hein?
Moi: Eh bien...c'est à dire que...ils ne fabriquaient pas l'or...mais j'imagine qu'ils ont dû en trouver dans le sol quelque part, parce que, en effet, ils fabriquaient beaucoup d'objets et bijoux en or.
Mathieu: Ils trouvaient l'or dans le sol?!
Moi: Euh...dans la pierre, oui. Dans des mines, en creusant...
Mathieu: Donc si on creuse, on peut trouver de l'or.
Moi: Hahaha, oui, mais pas n'importe où! Comme si tu creuses dans ton jardin, tu ne risques pas de trouver de l'or! À moins d'être bien chanceux! C'est comme les diamants, il n'y en a pas partout!
J'espère que je ne l'ai pas trop déçu!
Moi: Non, les Incas, ils étaient plus au sud, au Pérou, dans ce coin là (je lui montre la carte). Là, au Mexique, c'était plutôt les Aztèques.
Mathieu: Ok.
Moi: Ils étaient assez spéciaux les Aztèques.
Mathieu: Pourquoi?
Moi: Ils faisaient des sacrifices humains!
Mathieu: ...
Moi: Et ils arrachaient le coeur de la personne qui était sacrifiée pour le donner au Dieu-Soleil.
[il réfléchit un instant les yeux écarquillés]
Mathieu: C'est bien dégueulasse! Ils n'avaient même pas de GANTS!
[je me suis retenue pour ne pas rire, c'était trop mignon.]
Moi: Oui, c'est vrai, tu as raison.
[...] Un peu plus tard...toujours au sujet des Aztèques
Mathieu: Ils fabriquaient de l'or, eux, hein?
Moi: Eh bien...c'est à dire que...ils ne fabriquaient pas l'or...mais j'imagine qu'ils ont dû en trouver dans le sol quelque part, parce que, en effet, ils fabriquaient beaucoup d'objets et bijoux en or.
Mathieu: Ils trouvaient l'or dans le sol?!
Moi: Euh...dans la pierre, oui. Dans des mines, en creusant...
Mathieu: Donc si on creuse, on peut trouver de l'or.
Moi: Hahaha, oui, mais pas n'importe où! Comme si tu creuses dans ton jardin, tu ne risques pas de trouver de l'or! À moins d'être bien chanceux! C'est comme les diamants, il n'y en a pas partout!
J'espère que je ne l'ai pas trop déçu!
dimanche 10 mai 2009
Satisfaction
Si vous aviez à donner une cote sur 10 à votre vie en terme de satisfaction vis-à-vis celle-ci, ce serait quoi ? (0 étant une insatisfaction totale et 10, une satisfaction complète)
New York City
Cet été, après Halifax (5 semaines), je vais aller à New York, une semaine. Ma mère a vu un appart dans Brooklin, il est tellement beau! Mais cher. Mais beau! C'est un ancien loft absolument magnifique avec 7 places pour dormir... on va être 5. Juste à côté d'une station de métro à ce qu'il parait. Avis à tous! :)
J'espère qu'elle va le réserver...j'en meurs d'envie!
J'espère qu'elle va le réserver...j'en meurs d'envie!
samedi 9 mai 2009
Évasion
Oh qu'ils ne sont pas jolis mes textes ce soir.
Oh que je ne les aime pas.
Oh que c'est stupide.
Oh que c'est extrapolé, empiré et magnifié.
Ils ne sont même pas divertissants. Ils sont purement égoistes.
Dites-vous que si je n'écrivais pas, je développerais sans doute une aggressivité sans borne. Je me couperais les veines (dans le sens de la longueur), je briserais des murs et des vies.
C'est tout le temps comme ça. Ce soir, quand je suis arrivée à la maison, mon bonheur frôlait l'indécence. Je venais de passer 24h dans le bois, mon coeur avait battu comme il le fallait, j'avais mal à la hanche, j'avais eu chaud, je sentais certainement la fumée du feu de camp avec de la guimauve grillée dans les cheveux, j'avais le souvenir de la couleuvre et des petites fleurs, j'avais vu la lune pleine et brillament jouissive, les étoiles, j'avais senti l'odeur de l'épinette et du printemps dans les sentiers, j'avais marché dans la neige et eu les bottes mouillées, j'avais chanté des chansons en m'époumonant joyeusement, j'avais dormi 4h30, j'avais aimé cet homme qui nous parlait des étoiles, des galaxies et des amas de galaxie. Je me suis donnée à fond, j'ai aimé ça et je recommencerais demain matin. En ce moment je voudrais que ce soit ça ma vie : faire des expéditions en montagne. Toute ma vie, tout le temps. Plus petite, je détestais ce genre de trucs. Plus le temps avance, plus j'aime ça. C'est une évasion magnifique.
FIN
J'ai perdu tout ce qui me restait de motivation par rapport à mes études, le bal et la fin de l'année en général.
ÉTUDES: Sauf M.Croquette, qui a réussi à me faire vivre une expérience magnifique et enrichissante en dehors de l'école, en dehors de la ville et loin de tout parent. Le reste, j'en ai plein le cul.
BAL: Je n'ai même pas de robe encore. Je n'ai pas, non plus, de gentil garçon pour m'y accompagner et même si...
APRÈS-BAL: C ne vient pas, MJ non plus, mais elle, elle a au moins une bonne raison. Je n'ai même plus le goût d'y aller non plus si c'est pour y aller toute seule...
EXAMENS: Je n'ai pas le goût de me souvenir de tout ce qu'on a vu en math, chimie, physique et économie depuis septembre. De toute façon, je vais avoir tout oublié pendant l'été. L'inutilité est frappante.
MA FÊTE: Si c'est pour être aussi beau que l'an passé, je passe mon tour. C'était le début d'une longue série de souffrances. Tout le monde va être en lendemain de veille et ça va être dégueux dans tous les cas. Point.
ÉTUDES: Sauf M.Croquette, qui a réussi à me faire vivre une expérience magnifique et enrichissante en dehors de l'école, en dehors de la ville et loin de tout parent. Le reste, j'en ai plein le cul.
BAL: Je n'ai même pas de robe encore. Je n'ai pas, non plus, de gentil garçon pour m'y accompagner et même si...
APRÈS-BAL: C ne vient pas, MJ non plus, mais elle, elle a au moins une bonne raison. Je n'ai même plus le goût d'y aller non plus si c'est pour y aller toute seule...
EXAMENS: Je n'ai pas le goût de me souvenir de tout ce qu'on a vu en math, chimie, physique et économie depuis septembre. De toute façon, je vais avoir tout oublié pendant l'été. L'inutilité est frappante.
MA FÊTE: Si c'est pour être aussi beau que l'an passé, je passe mon tour. C'était le début d'une longue série de souffrances. Tout le monde va être en lendemain de veille et ça va être dégueux dans tous les cas. Point.
jeudi 7 mai 2009
MÉGANTIC
Depuis près d'une heure, je travaille sur mes bagages pour mon expédition de demain au Mont Mégantic.
Le cousin de ma mère m'a apporté un gros sac à dos de voyage avec un sleeping bag dedans.
J'ai réussi à y faire entrer tout plein de vêtements chauds/imperméables, des collations genre «goûter montagnard», un rouleau de papier de toilette (on s'en va dans le boiiis!), une brosse à dent (malgré l'interdiction formelle du professeur), un tapis de sol, une grosse bougie pour mettre un peu d'ambiance dans la tente/gîte), mon briquet, une lampe de poche frontale des Débrouillards (trop la classe!), une lampe de poche ordinaire, des gravols et autres médicaments d'urgence (ainsi que 5 plasters).
Je suis vraiment belle avec ça sur le dos. Avec mon 112 lbs trempe, j'ai l'air d'une tortue. C'est vraiment immense. Et en plus, c'est vert!
Le cousin de ma mère m'a apporté un gros sac à dos de voyage avec un sleeping bag dedans.
J'ai réussi à y faire entrer tout plein de vêtements chauds/imperméables, des collations genre «goûter montagnard», un rouleau de papier de toilette (on s'en va dans le boiiis!), une brosse à dent (malgré l'interdiction formelle du professeur), un tapis de sol, une grosse bougie pour mettre un peu d'ambiance dans la tente/gîte), mon briquet, une lampe de poche frontale des Débrouillards (trop la classe!), une lampe de poche ordinaire, des gravols et autres médicaments d'urgence (ainsi que 5 plasters).
Je suis vraiment belle avec ça sur le dos. Avec mon 112 lbs trempe, j'ai l'air d'une tortue. C'est vraiment immense. Et en plus, c'est vert!
Conversation
Une fille du CÉGEP d'à côté qui s'en vient attendre le bus à côté de moi, portable à l'oreille, elle parle:
- Depuis ce matin que j'essaie ACTIVEMENT de te parler!
-[...]
- J'ai une nouvelle à t'annoncer...
-[...]
-(parlant moins fort) Je suis enceinte...
J'espérais vivement que c'était pas son chum au bout du fil...il aurait pêté une coche.
- Depuis ce matin que j'essaie ACTIVEMENT de te parler!
-[...]
- J'ai une nouvelle à t'annoncer...
-[...]
-(parlant moins fort) Je suis enceinte...
J'espérais vivement que c'était pas son chum au bout du fil...il aurait pêté une coche.
mardi 5 mai 2009
dimanche 3 mai 2009
Scènes de litS sur Ste-Cath
Ahhhh...L, c'est dommage que tu n'aies pas pu venir...c'était vraiment bon. C'était drôle.
Du divertissement à l'état pur. Sur le thème su sexe. Du sexe et encore du sexe. L'exagération des complexes de notre société.
Pour bien commencer la pièce, le gars se fous à poil. Ce n'est pas pour rien qu'il jouait le rôle de Petit-pénis 1, à mon avis...enfin bref.
Tous les clichés y étaient, les échangistes, la ronde, les one nighteux, la lesbienne frustrée, le gay qui s'assume pas, en passant par le p'tit couple de 16 ans qui a une première fois ratée dans un motel, la barmaid qui se fait demander de baiser 50 fois par soir, et bien sûr petit pénis I et II. Tout y était, ou presque. Rien de particulièrement heureux, en fait. Même si au départ, ils se croyaient tous heureux.
D'ailleurs, ça représente parfaitement bien notre génération, comme l'a dit C.
Les gens se croient ben hot à courailler à droite et à gauche, et à 30 ans, ils réalisent qu'ils n'ont rien vécu. Et qu'ils voudraient revenir en arrière et aimer pour vrai. C'est correct une couple de fois, mais quand ça devient une habitude, t'as vraiment un problème.
Je commençais à croire que j'étais tu seule à penser ça...ben non! Pis ça a l'air qu'il y en a une coup' qui commencent à se réveiller...
vendredi 1 mai 2009
Le Cubain
Le mec le plus beau au monde habite...à Cuba...bouhouhouuuuu :(
Il a juste 20 ans!
Il a juste 20 ans!
Viens-t'en mon grand, on va se marier!
Qu'est-ce que je ne ferais pas pour aider un beau jeune homme comme lui à sortir de son pays, hein?
Un cubain aux yeux bleus...vous vous rendez compte??? La perle rare. Musclé et bronzé en plus...qu'est-ce que tu veux demander de mieux...sérieusement?
Société
J’aimerais une vie en noir et blanc
Du temps où les gens se mariaient à seize ans
Du temps où les gens avaient quatorze enfants
Du temps où mari et femme étaient amants
J’aimerais une vie en noir et blanc
Du temps où les gens se saluaient en marchant
Du temps où les gens habitaient sur des rangs
Du temps où les hommes travaillaient au champ
J’aimerais une vie en noir et blanc
Du temps où les gens faisaient un x en signant
Du temps où les gens allaient à l’école deux trois ans
Du temps où l’on n’en avait pas le temps
J’aimerais une vie en noir et blanc
Pour pouvoir dire à mes petits-enfants
Que du temps de leurs grands-parents
Les gens ne vivaient pas longtemps
Du temps où les gens se mariaient à seize ans
Du temps où les gens avaient quatorze enfants
Du temps où mari et femme étaient amants
J’aimerais une vie en noir et blanc
Du temps où les gens se saluaient en marchant
Du temps où les gens habitaient sur des rangs
Du temps où les hommes travaillaient au champ
J’aimerais une vie en noir et blanc
Du temps où les gens faisaient un x en signant
Du temps où les gens allaient à l’école deux trois ans
Du temps où l’on n’en avait pas le temps
J’aimerais une vie en noir et blanc
Pour pouvoir dire à mes petits-enfants
Que du temps de leurs grands-parents
Les gens ne vivaient pas longtemps
Impasse
Pour ma part, j'ai vraiment hâte que l'école finisse. Si la grippe porcine pouvait monter rapidement au niveau 6 (et ainsi faire fermer les écoles), je m'en porterais très bien.
L'école où l'on va présentement est un milieu dans lequel je me sens bien, mais aussi dans lequel je sens que je n'ai plus particulièrement ma place.
Sans arrêt confrontée à une réalité qui me fait mal, je suis tiraillée par l'envie indéniable de tout laisser tomber, mais je ne le peux pas. Et dans aucun cas je ne peux faire quoi que ce soit. La seule chose qui me soit permise, c'est de laisser les choses aller en espérant que ça vire bien.
J'y côtoie des gens super, mais les institutions en place m'empêchent de dépasser ce stade ridiculement morne.
En fait, je ne sais même pas moi-même ce que je veux réellement. Il me manque tellement d'informations que si j'ose dire que oui ou que non, le lendemain je risque de vouloir dire le contraire. Et le surlendemain, revenir sur ma décision.
Bref, j'en ai marre de me baser sur des informations en forme de râpe à fromage. J'ai hâte de ne plus en avoir et de pouvoir recommencer à zéro.
L'école où l'on va présentement est un milieu dans lequel je me sens bien, mais aussi dans lequel je sens que je n'ai plus particulièrement ma place.
Sans arrêt confrontée à une réalité qui me fait mal, je suis tiraillée par l'envie indéniable de tout laisser tomber, mais je ne le peux pas. Et dans aucun cas je ne peux faire quoi que ce soit. La seule chose qui me soit permise, c'est de laisser les choses aller en espérant que ça vire bien.
J'y côtoie des gens super, mais les institutions en place m'empêchent de dépasser ce stade ridiculement morne.
En fait, je ne sais même pas moi-même ce que je veux réellement. Il me manque tellement d'informations que si j'ose dire que oui ou que non, le lendemain je risque de vouloir dire le contraire. Et le surlendemain, revenir sur ma décision.
Bref, j'en ai marre de me baser sur des informations en forme de râpe à fromage. J'ai hâte de ne plus en avoir et de pouvoir recommencer à zéro.
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