dimanche 14 juin 2009

Indéniablement, je l'avais dit, non?

Il y a Marie qui m'a demandé, jeudi dernier, comment j'avais rencontré Laurent, parce qu'on était venu à parler de lui parce qu'il était dans son rêve et qu'elle voulait me le raconter, mais elle avait oublié ce qu'il y faisait. Il avait un rôle important à son souvenir. Bref, elle ne savait pas comment je l'avais connu. Je lui ai raconté. C'est tout bête en fait! Par le plus pur hasard. À moins que je ne sache pas tout et que ce n'était pas vraiment un hasard. Qui sait?

Et je lui ai compté le reste en gros. Le peu qu'il restait à raconter.

J'aurais vraiment aimé ça me voir aller. Tsé, avoir comme un film pour revoir ça. Peser sur pause, rembobiner et réécouter tout ça. Une vraie comédie, j'en suis sûre. Subtile? non. Absolument pas. Mais ça a valu le coup en tout cas.

Juste l'histoire du shaker vaut le détour. Moins subtile que ça, tu meurs. Et le billet d'opéra...et le sourire de la veille des vacances du temps des fêtes. Tout laisser tomber pour un sourire, ce n'est pas logique, hein? Eh bien c'est la meilleure décision que j'ai prise de toute ma vie, je crois.

À refaire n'importe quand, mais pas pour n'importe quel sourire, on s'entend.

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